Mercredi 15 octobre 2008 à 11:46

And if you took to me like
A gull takes to the wind.
I'd 'a jumped from my trees
And I'd 'a danced like the king of the eyesores
And the rest of our lives would 'a fared well.

New slang when you notice the stripes, the dirt in your fries.
Hope it's right when you die, old and bony.
Dawn breaks like a bull through the hall,
Never should have called
But my head's to the wall and I'm lonely.

Mercredi 15 octobre 2008 à 11:26

"C'est l'cannabis thérapeutique." J'adore cette expression.

Mercredi 15 octobre 2008 à 11:15

Dans la nuit de lundi à mardi, vers 2h46 du matin je me suis réveillé, toutes les lumières de ma chambre étaient allumées et j'étais en train de descendre l'escalier de ma chambre (j'étais aux deux tiers) avec mes couvertures pliées dans mes bras.

Peut-être que mon subconscient veut déménager.

En tout cas après j'ai rêvé que je me saouler dans le camping de la citadelle avec mes amis. Et cette nuit j'ai rêvé que j'éclatais un verre sur la tête d'un type sur la terrasse d'un restaurant en Angleterre parce qu'il sortait avec une fille qui me plaisait. J'ai fait ça en rigolant, puis je me suis enfui à vélo, poursuivi par la police française, en prenant tous les sens interdits. Je précise que bien qu'il ne m'ait pas toucher (le mec de la fille), c'est moi qui saignais de la tête. Après je faisais une ballade à vélo en forêt avec une dame, je sais plus trop qui c'était mais y'avait beaucoup de flaques d'eau.

" L'interprétation des rêves est la voie royale qui mène à la connaissance de l'inconscient dans la vie psychique."  Je vais bientôt m'acheter ce foutu bouquin d'interprétation des rêves. En fait la psychanalyse, c'est vachement interessant. Sérieux.

Mercredi 8 octobre 2008 à 22:24

Filles, s'abstenir.

Nan mais franchement, le coup du ouais on peut rester super potes machins avec son ex, c'est bidon. Y'a toujours un gagnant et un perdant de la rupture et le gagnant le fait toujours bien sentir à l'autre (j'entends par gagnant celui ou celle qui s'est recasé). Bref, conasse. Le coup du je t'appelle torchée à 2h du mat' et j'te chante du Michel Sardou pis après je te demande de m'appeller, trop bidon. Je renvoie un texto le lendemain en disant : merci de cette délicate attention, appelle moi lundi parce que ce soir y'a les experts. Forcément lundi, elle m'appelle pas, je l'appelle elle décroche pas, elle me rappelle pas. Le lendemain je lui dit que c'est agaçant, chui pas son chien. Là elle me sort qu'elle passe ses soirées au téléphone avec Christopher (me présentez personne avec ce prénom là sinon, il va s'alimenter par perfusion pour le reste de sa vie), son nouveau mec, avec qui elle va à Disneyland Paris ("vu que t'as pas voulu m'y emmener"), elle a même osé me raconter leur rencontre et comment ils se sont embrassés pour la première fois (c'était à se vomir dessus). Même quand je lui ai dit que j'étais pas sûr de vouloir la voir quand elle passerait à Lille parce que j'étais pas en supère forme et que je savais pas comment j'allais réagir, elle a même rien compris et elle m'a pas laissé parler. Un vrai fardeau. Quand elle m'a dit hier : nan mais appelle moi dans la journée je serais dispo alors qu'elle sait comme moi, qu'elle est toujours bizarrement occupée quand je l'appelle, faudrait pas abuser. Si y'a bien un truc que je déteste, c'est qu'on me traite comme de la merde EN LE NIANT. J'ai un putain de principe ultra handicapant, je me dis toujours, on frappe pas les filles (dans la vie de tous les jours c'est pas facile parce qu'elles hésitent pas à en abuser - NB : on peut taper les filles à l'entrainement) mais alors là, je l'ai tellement haï à ce moment là, elle aurait pris dans la gueule le coup de coude spécial Chuck Maurice ultra violent, ses dents auraient sauté, ca aurait été bon. Son mec aurait même plus voulu l'embrasser (quelqu'un qu'à plus de dents, ca doit être moyen à embrasser), elle aurait eu des troubles d'élocution toute sa vie et comme elle est en fac d'histoire (elle sait même pas pourquoi, elle est là-bas mais "l'histoire c'est trop bien!!!!, j'te jure c'est trop interessant" woaw, une vocation!), elle aurait pas pu faire prof, toute façon prof d'histoire c'est merdique, ca interesse personne et tu gagnes rien. D'ailleurs elle pourrait jamais avoir recours à son opération de chirurgie esthétique avec un salaire pareil, compléxée à vie la gamine. Donc, comme je sais qu'elle a un gros défaut, elle est pas rancunière (moi je suis très rencunier, sur mon lit de mort je me souviendrais de Louis Genelle qui m'a piqué mes meilleures cartes pokémon en CM2, l'enculé), elle va rappeller, je ferais pas 2 fois la même erreur, je décroche plus jamais. 

Je sais bien que c'est un article ultra lâche mais en même temps j'allais pas me taper 600 bornes pour lui cracher ca à la gueule et vu qu'elle répond pas et que j'ai pas que ca à faire d'écrire des sms (en passant, cadeau, les 1000 caractères ca correspond à 7 textos, je sais je l'ai fait) donc, bon. Mais j'avais vraiment la rage, quoi, merde, faut me comprendre, je suis un mec. Le sexe faible. Foutu pénis.

En passant, mon prof d'histoire de la médecine (que j'adoooooore) a prononcé ces mots : "L'homme : terme générique qui embrasse la femme. Ca me plaît bien." Ca m'a tué. Tellement fort le mec, t'as trop envie d'être comme lui, un demi dieu (du moins en apparence). C'était marrant quand il a fait un bide en disant : "levez la main, ceux qui n'ont pas la télé chez eux." Et là-dessus le mec, il lève la main. Anesthésiste, le mec. Respect quoi.

Désolé mes articles sont supers longs en ce moment, et pourtant il m'arrive rien. Juste hier midi j'ai frolé la mort, à 2 mètres, le passant témoin de la scène me regarde l'air de dire :"tu t'attendais vraiment à ce qu'il s'arrête?". Enfin c'est la 2ème fois que je frole la mort à vélo. Mais là, j'avais le temps de sauter de mon vélo et j'ai compris pourquoi les gens quand ils voient la voiture arriver sur eux, ils bougent pas. Pas parce qu'ils ont peur, pas parce qu'ils sont suicidaires, mais tout simplement ils croivent pas que c'est réel, ils le nient simplement. Ca j'aurais pas pu l'inventer, pas vrai?

Faut bien que j'exteriorise, vu que j'ai pas vraiment d'occasions, je vois vraiment pas à qui je vais aller raconter tout ça (sans vouloir offenser personne ni nier aucune(s) amitié(s)).

Jeudi 2 octobre 2008 à 20:50

Un truc qu'est bon pour les neurones, chers collègues. Rouler en bagnole la nuit, ca tue. La musique et la conduite s'accorde incroyablement bien, on dirait qu'on se laisse porter par la voiture, sans penser à rien, on regarde pas vraiment, à moitié dans la musique, à moitié en train de conduire, mais la nuit, ni l'un ni l'autre, en fait. C'est quasiment un truc mystique. Ca me rappelle à chaque fois les heures que je passais à écouter Pink Floyd dans la voiture de mon père, en hiver. La tête contre la vitre, regarder les paysages gelés, avec cette sorte de pureté que leur donne la neige. C'était bon sérieux.

Maintenant, c'est l'hiver qu'arrive, et c'est pas trop tôt. J'arrive pas à dire ce que je préfère : hiver ou été. Quand c'est l'été j'me dis vivement l'hiver, quand c'est l'hiver j'me dis vivement l'été. Toute façon je fais des bronchites en été comme en hiver alors... En fait c'est bien foutu. J'aime pas le printemps, ni l'automne, j'aime pas les choses faites qu'à moitié, mais à un point. Je déteste les choses faites qu'à moitié même. Faut absolument que vous sachiez ça, pour comprendre un peu mieux les trucs que je fais, souvent j'y vais à fond, ou j'y vais pas. Mais je sais rien faire aussi, des fois. Je déteste dire "je sais pas" (pour des trucs importants hein, la météo ou quelles chaussettes je vais mettre on s'en cale un peu, quoique les chaussettes c'est vachement important, j'y reviendrais peut-être). Mais la vie, elle t'empêche toujours de faire les trucs à fond, enfin du moins, souvent les trucs qu'elles te balancent ca suffit à effriter. Et puis y'a aussi que je suis un internel indécis, à force de faire les mauvais choix, on finit par viser au milieu. J'ai l'impression d'être un caramal mou (je sais pas vraiment ce que ca veut dire, mais je pense pas vraiment que ce soit de la lâcheté) au final, mais pas par ma faute. J'ai l'impression que la plupart des gens aussi sont des caramels mous, mais qu'ils arrivent à vivre avec. Moi, je crois que pour une grande part, c'est les études qui me ramollissent, en vacances je suis plutôt comme un arlequin.

Bref, encore un article qui veut rien dire. Toute façon même moi j'arrive pas à dire si c'est vrai ou pas, si je pense ce que je dis, si je suis là ou pas, en gros. Des fois, j'ai l'impression d'être dans un film très réel, mais j'arrive pas à dire si j'aime bien ou pas.

En tout, y'a des trucs que sais : j'aime la musique, les filles (même à regarder), les experts las vegas. Le reste je saurais pas vous dire. Et l'hiver, à Montréal.

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